La Fédération des Entreprises Monégasques, partenaire social de la Principauté, regrette que les dirigeants de l’Union des Syndicats de Monaco aient appelé, puis provoqué un peu de perturbation à Monaco jeudi 16 juin.

Elle constate que la ramification avec le syndicat français CGT perdure dans l’esprit, alors que la système économique et social n’a rien à voir avec celui de la France. Les salariés de Monaco savent bien pourquoi ils rejoignent notre territoire le matin, et pourquoi ils sont fiers d’y évoluer professionnellement.

Une fois de plus l’USM compare des éléments qui ne sont pas comparables, et tente de faire passer une idéologie passéiste avant les faits de la réalité économique et sociale monégasque. Bien sûr tout ne va pas bien, mais nous avons la chance d’avoir un Etat fort et régulateur, des finances saines et des avantages sociaux considérables.

Il est proprement scandaleux de tenter de faire croire le contraire aux salariés de Monaco, pour tenter d’exister en tant que structure syndicale. Nous regrettons donc que les dirigeants de l’USM cherchent à provoquer des comportements inadéquats de la part des salariés, à la limite de la déloyauté par rapport à l’esprit qui préside à notre modèle économique et social monégasque.

La FEDEM profite de cette communication pour dénoncer les blocages et les grèves dans le pays voisin, également organisés par une structure à idéologie du passé (CGT), qui affecte le bien-être des salariés pour accéder à la Principauté en transports, qui augmente les problèmes de circulation, sans parler du stress individuel. Ce qui se passe est une honte sans parler des conséquences en terme d’image et donc d’attractivité pour la Principauté.